La guitare attaque, David Crosby apparaît dans la lumière, puis Stephen Stills, drapé dans un poncho, le même que The Man With No Name dans A Fistful of Dollars.
Graham Nash joint sa voix à Crosby, ce soir ils font les chœurs, Stills est le Roi de Cœur.
« It’s getting to the point… »
L’image se sépare, Stills est en avant « I’m sorry », il quitte Judy.
Woodstock 1969
Ceci est une histoire d’Amour, une véritable, celle d’un amour finissant après 2 années intenses, quelques morceaux de vie, quelques bouts de chansons mis bout à bout pour en faire une Suite…
Sweet Judy Blue Eyes
« Sometimes it hurts so badly
I must cry out loud
I am lonely »
Stephen Stills chante son Amour déçu dans la nuit aoûtienne, les 3 reprennent en chœur le refrain comme pour lui donner plus de vigueur.
« I’m yours
You are mine
You are what you are
And you make it hard »
La suite n’est pas autre qu’histoire ancienne, accords parfaits pour des cœurs brisés, les voix pleurent à l’unisson.
« Be my Lady… Doo doo doo doo doo… »
La chanson se termine en espagnol et à Cuba comme une dernière plainte ou un souvenir
Pour oublier
« Que Linda ma la traiga Cuba
La reina de la Mar Caribe
Cielo sol no tiene sangreahi
Y que triste que no puedo vaya oh va, oh va »